Depuis la création du web, il y a des dizaines d’années maintenant, le nombre de sites internet n’a cessé d’augmenter. En 2018, il y en a plus de 1,4 milliard actifs dans le monde. La porte d’entrée numéro 1 dans tous ces sites internet est de très loin le géant de Mountain View, Google. Le moteur de recherche américain capte pas moins de 91,5 % de part de marché, loin devant Bing avec 4,9 % et Yahoo 1,9 %. Avec 30 000 000 000 de pages indexées sur Google, difficile de sortir du lot. D’autant que (seulement) 45 % des TPE-PME françaises ont un site internet, une proportion qui pourrait passer à 92 % d’ici la fin 2018.
Par exemple, plus près de chez nous, en tapant « Plombier en Auvergne-Rhône-Alpes » sur Google, ce sont 695 000 résultats qui nous sont retournés… Difficile dans ces conditions de se faire une place dans les premières pages, d’autant que 75 % des personnes ne prennent même pas la peine d’aller à la deuxième. Être en tête des résultats de recherche sur certains mots-clés est donc indispensable pour espérer être visité, surtout que 50 % des requêtes ont 4 mots ou plus.
Alors vous allez me demander comment faire pour être numéro 1 chez Google?
En vérité, il existe deux solutions :
- Acheter à Google des liens sponsorisés, ou des mots-clés aux enchères, une solution extrêmement onéreuse, mais redoutablement efficace.
- Le référencement naturel, appelé aussi SEO (search engine optimization), dont des agences se sont spécialisées pour assurer la visibilité de son site web.
Alors si acheter de la « pub » sur Google est très simple, il suffit d’en avoir les moyens, il n’en est pas de même pour le référencement naturel.
Le faire soit même, sans un véritable spécialiste, comme par exemple l’agence Auverhônalpine VALIC, située à Nyon dans la Drôme (26), est quasiment impossible.
Car pour séduire Google, il ne faut pas seulement lui faire les yeux doux, il y a une véritable stratégie à mettre en place.
Car les petits robots du moteur de recherche ne voient pas vraiment la même chose que nous autres, internautes. Ils se glissent dans les codes sources des pages de nos sites web, et c’est précisément là qu’ils remontent à l’algorithme de Google les bons ou mauvais points.
- Pour faire simple, pour être bien référencé, il faut avant tout du contenu, les sites présents en 1ère page de Google contiennent en moyenne 1 890 mots. Mais pas n’importe quel contenu évidemment, en lien avec votre activité et en utilisant les bons mots, que les internautes seraient susceptibles de taper dans la barre de recherche…
- Il faut aussi harmoniser et hiérarchiser son contenu, avec des titres, des paragraphes, des phrases bien construites, une bonne densité de mots… Les images doivent avoir un titre ainsi qu’une balise ALT (attribut), ne pas être trop lourdes, pour ne pas ralentir le site, 40 % des visiteurs d’un site web partent s’il prend plus de 3 secondes pour se charger !
- Depuis peu, Google prend aussi en compte l’affichage sur mobile, avoir un site « responsive » est donc indispensable. Sans entrer plus dans les détails, il faut savoir gérer les méta-descriptions, les balises opens-graph pour Facebook et Linkedin, éviter les pages Erreur 404, avoir un site en https://, autant de techniques à maîtriser pour être le numéro 1 sur Google.
- Autre donnée importante pour grimper dans les recherches, avoir un maximum de liens extérieurs vers son site, aussi appelés les « Backlinks ». Car plus les robots de Google « visitent » des liens pointant vers voir site, meilleur sera votre position. Mais là aussi, il ne faut pas faire n’importe quoi, le contenu du lien doit être en adéquation avec le thème de votre activité. Par exemple, avoir un lien dans un article sur « Comment faire des gâteaux ? » vers votre site d’agence immobilière ne sert strictement à rien.
Il existe, là encore, des plateformes spécialisées pour créer des backlinks. On vient de le voir, bien figurer dans les moteurs de recherche est une chose complexe, que seuls des professionnels maîtrisent parfaitement. La moindre erreur et votre site peut très vite dégringoler dans le classement de Google ou autres.
Décidément, l’époque du bouche-à-oreille est définitivement terminée…